Mardi 11 juillet à l’Observatoire Loire, Parc des Mées

Pour cet afterwork d’été, Millef’Oeil vous propose un pique-nique en bord de Loire précédé d’une conférence-découverte de l’Observatoire Loire au Parc des Mées.
Créé en 1992, l’Observatoire Loire a rejoint le Parc des Mées en 2016 dans un bâtiment spécialement réaménagé pour ses missions d’éducation à l’environnement.
Nous en ferons la visite avec sa directrice Béatrice Amossé. Sous l’angle de la communication qui nous intéresse, elle nous présentera aussi les enjeux et perspectives de l’association qui, par le biais d’animations pédagogiques, conférences et balades pédestres et fluviales, s’inscrit dans une dynamique de valorisation du territoire ligérien.
Mardi 11 juillet, à 18h30, à l’Observatoire Loire, levée de la Loire, Parc des Mées, La Chaussée Saint Victor.
Participation de 4 euros par personne en plus d’apporter un plat sucré ou salé ou boisson.
Inscription auprès de millefoeil@gmail.com

Le Domaine national de Chambord, le rêve des communicants

Qui d’entre nous, en professionnel de la communication, n’a pas un jour rêvé de travailler à la promotion de  Chambord – par émerveillement pour l’édifice, pour l’envie d’y apporter sa pierre, voire avec l’inavouable pensée que le gigantisme et le rayonnement du lieu puissent être contagieux ?…

Alors forcément, quand s’est présentée l’opportunité d’organiser un afterwork au Domaine, on l’a saisie ! C’était le 6 juin, sur la thématique « Communication et Partenariat ».

Une soirée Millef’Oeil – Com45

L’honnêteté étant de rendre à César ce qui lui revient, remercions Com 45, l’association des communicants du Loiret de près de 20 ans notre ainée, d’avoir associé Millef’Oeil à l’organisation de l’événement qui, au total, a rassemblé une soixantaine de participants. L’excitation était à la hauteur des terrasses du château – ce qui n’est pas peu dire ! – et c’est d’ailleurs de là-haut qu’on a pu admirer les contours des Jardins à la Française inaugurés au printemps, un des événements de 2017 du Domaine de Chambord.

C’est dans la Salle des Chasses que s’est déroulée la rencontre thématique qu’on pourrait pu appeler les « coulisses de Chambord » tant elle a été riche en données chiffrées et réflexions sur la stratégie de développement du Domaine, dont le fonctionnement est autofinancé à plus de 80 % aujourd’hui.

Merci à Frédéric Bouilleux, directeur général adjoint du domaine de Chambord, Pauline Savoyini, chargée de communication, et Yannick Mercoyrol, directeur de la programmation culturelle, qui nous ont donné à à rêver encore tant les ambitions culturelles et environnementales sont monumentales, mais aussi… locales. Le rêve du communicant « local » deviendra-t-il réalité ?

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Histoire de vous titiller encore… sachez que nous avons discrètement jeté un coup d’oeil à l’installation de l’exposition « Pompidou et l’art », ouverte au public à partir du 18 juin. A voir absolument !

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Photos : Didier Depoorter – Florence Fouché

 

Communication et partenariat au Domaine national de Chambord

Exceptionnellement notre prochain afterwork aura lieu un 1er mardi du mois, le mardi 6 juin !
En effet, nous avons l’opportunité de nous retrouver, ce jour-là au Domaine de Chambord, avec Com 45, association de communicants du Loiret, pour une soirée thématique « Communication et partenariat ».
Rendez-vous donc à 18h30. Au programme : présentation de la politique de communication de Chambord, visite des nouveaux jardins, cocktail.
Tous les inscrits recevront une information plus détaillée sur le lieu de rendez-vous.
Participation aux frais demandée pour les non adhérents, mais il est toujours possible de le devenir sous réserve d’être professionnel de la communication bien sûr !

Mardi 16 mai : les secrets de l’expo 2017 de la Maison de la Magie

L’exposition « Secrets de papier », à la Maison de la Magie à Blois
De l’origami au pop-up, en passant par les papiers pliés, sculptés ou découpés, les tours de magie, les livres animés, la Maison de la Magie laisse parler les p’tits papiers… pour nous faire explorer les métamorphoses du papier dans toutes ses dimensions.
Des mises en plis décoiffantes présentées par Céline Noulin, de notre tribu Millef’Oeil, qui se pliera en quatre pour vous guider dans cette exposition inédite qui fait déjà un carton !
Rendez-vous mardi 16 mai à 18h30 précise, à la Maison de la Magie, place du Château, à Blois

Merci de respecter l’horaire

Cette visite guidée, spéciale VIP pour Millef’Oeil, sera bien évidemment suivie d’un cocktail.

Participation : 8 euros par personne

Merci de vous inscrire impérativement avant le vendredi 12 mai, en remplissant le formulaire : https://goo.gl/forms/IXve3x2wuPNznXlT2

La réalité des réalités augmentée et virtuelle… c’est la com !

Réalité virtuelle et réalité augmentée ne sont plus aujourd’hui réservées aux gamers. Sauf à être coupé de tout système d’information ou de communication d’aujourd’hui, tout public en fait l’expérience. Comment ça fonctionne, tant du point de vue de l’utilisateur que du technicien ? Quelles entreprises peuvent en tirer partie ?Dans quels objectifs ? Avec quels bénéfices ? Quelles compétences, stratégiques, techniques ?

Les bénéfices pour les entreprises, thème de la conférence co-organisée par Millef’Oeil et Loir-et-Cher Tech le 25 avril 2017
Pour répondre à ces questions et échanger sur les opportunités offertes par ces technologies, les deux associations Millef’Oeil et Loir-et-Cher Tech, partenaires sur des thématiques de la communication numérique, ont organisé une conférence, mardi 25 avril, à l’INSA-Blois, avec Virdys, entreprise de Montpellier spécialiste en matière de solutions interactives et immersives en 3D.  Plus de 100 personnes se sont inscrites, un taux de participation au-delà des prévisions ! Des professionnels de la com, du marketing, des industriels, des étudiants,…

Des cas concrets présentés par Virdys
Compte tenu de la typologie des participants, Virdys a abordé toutes les questions de façon très pédagogique sur chacun des chapitres : réalité virtuelle, réalité augmentée, réalité mixte (mix des deux), ceci à partir de cas concrets de réponses à des problématiques marketing, commerciales ou industrielles et de bons conseils en termes de stratégie et de contenus. On a retenu que la démocratisation de ces technologies, favorisée par des équipements plus abordables, n’attend que la normalisation des plateformes pour se déployer véritablement, ce qui ne saurait tarder – on l’espère.

A savoir, Virdys propose un logiciel de création de video 3D, Easy Sim 3D, qui permet de créer facilement des animations. La facilité et la rapidité d’acquisition en sont les points-forts. Il est notamment utilisé par une chaîne de télévision française pour la reconstitution de faits d’actualité. Pour ceux qui seraient intéressés par le produit, une plate-forme collaborative EasySim 3D Store leur permet de proposer une animation 3D sur un sujet donné.

En conclusion et c’est une bonne nouvelle pour les pro de la com, il y a à faire ! Stratégie de communication ou marketing, narration, video, son, design, ergonomie, etc. Nous le savons bien, nous les Millef’Oeil, l’outil ne fait pas tout !

 

En photo, Thierry Cottenceau, co-fondateur de Virdys. 

Thierry COTTENCEAU a participé à la labellisation Montpellier FrenchTech et a initié la création du Cluster d’entreprise FrenchSouth Digital où il est pilote du Collège DCC (Digital Content et Culture) et administrateur. Son expertise dans les domaines de la 3D et de l’innovation, tels que la réalité virtuelle et augmentée, lui a permis d’obtenir plusieurs distinctions prestigieuses telles que le prix de l’innovation décerné par l’idate digiworld(2012) ou encore le prix de la communication (2013), le prix de l’innovation marketing (2014) et le prix de l’innovation de l’outil commercial (2015).

 

 

Soirée de printemps chez Cogeprint

Ce mardi 21 mars, l’association Millef’Oeil a été accueillie par Cogeprint, à Blois, rue de la Vallée Maillard, pour une visite animée par Jérôme Danard, responsable commercial, et Patrick Eveno, directeur de production.

Une entreprise discrète de 35 salariés

Il s’agissait pour les adhérents, professionnels de la communication, d’en savoir plus sur cette imprimerie quasi-inconnue du grand public et assez peu des créatifs. Et pour cause : de l’impression de lettres chèques en 1986, l’entreprise s’est spécialisée en 30 ans dans le traitement des documents personnalisés et confidentiels, essentiellement administratifs et financiers. Editer des chéquiers ou des chèques cadeaux… ça peut attirer les convoitises, ainsi pour des questions de sécurité elle s’est faite discrète  – même si le site est aussi sécurisé qu’une banque et la production tout autant !

Gestion de courriers personnalisés et sécurisés, « sortants » et « entrants »

Pas d’imprimerie « classique », donc, de type affiches, flyers ou périodiques, non. Pas de studio de création non plus. Cogeprint, c’est un ensemble de services englobant la personnalisation des messages, la mise sous pli et le routage sur-mesure. Sa valeur ajoutée, c’est l’édition sécurisée avec une offre qui n’intéresse pas que les établissements bancaires et financiers. L’entreprise blésoise compte parmi ses clients les services marketing de grandes enseignes nationales, de la distribution par exemple. La capacité de gestion DATA des courriers « sortant » couplée à un nouveau service (depuis 1 an), celle des courriers « entrant », permet de valoriser la gestion personnalisée de la relation client. De réelles opportunités, de l’avis des participants Millef’Oeil !

Merci à Jérôme Danard, responsable commercial, et Patrick Eveno, directeur de production, pour la qualité de cette visite professionnelle…. et pour le (faux) bon d’achat personnalisé remis aux participants !

millefoeil cogeprint

Réalités augmentée et virtuelle : des applications concrètes pour les entreprises, à suivre à Blois le 25 avril 2017

Inscrivez-vous dès maintenant à la conférence du 25 avril 2017 :
Réalités augmentée, virtuelle et mixte des bénéfices concrets pour les entreprises
 
Cette conférence consacrée aux applications pratiques de la réalité augmentée et de la réalité virtuelle pour l’entreprise est organisée par les deux associations Loir-et-Cher Tech et Millef’Oeil, partenaires depuis 2016. Elle sera animée par Thierry COTTENCEAU, de la startup Virdys, de Montpellier.
 
Virdys propose des solutions interactives et immersives en 3D au service des problématiques marketing, commerciales et industrielles. Elle a présenté au CES de Las Vegas, le premier logiciel Easy Sim 3D, permettant de créer facilement des animations pour des faits d’actualité.
A l’appui d’exemples concrets, Thierry COTTENCEAU présentera les bénéfices de ces technologies pour les organisations dans les domaines les plus divers de la production, du management, des services, de la vente, de la communication, etc. L’occasion de présenter la plate-forme collaborative EasySim 3D Store qui permet de proposer une animation 3D sur un sujet donné.
 
Thierry COTTENCEAU a participé à la labellisation Montpellier FrenchTech et a initié la création du Cluster d’entreprise FrenchSouth Digital où il est pilote du Collège DCC (Digital Content et Culture) et administrateur.
Son expertise dans les domaines de la 3D et de l’innovation, tels que la réalité virtuelle et augmentée, lui a permis d’obtenir plusieurs distinctions prestigieuses telles que le prix de l’innovation décerné par l’idate digiworld(2012) ou encore le prix de la communication (2013), le prix de l’innovation marketing (2014) et le prix de l’innovation de l’outil commercial (2015).
 
Cette conférence intéresse tout particulièrement les dirigeants d’entreprise de tous secteurs d’activité (industrie, maintenance, tertiaire, tourisme…), les professionnels de la communication et des technologies numériques, les étudiants et tout public en tant que consomm’acteur de ces réalités.
 
 
Mardi 25 avril 2017 à 18h30 à l’INSA de Blois (3 rue de la chocolaterie à Blois)
8 € pour les adhérents Millef’œil et Loir-et-Cher Tech
12 € pour les non-adhérents
5 € pour les étudiants
 
 

SWEblois acte 3 : le suspens jusqu’au palmarès !

Suite et fin de la chronique d’Hugo Ballabriga, adhérent Millef’Oeil présent tout au long de ce 1er start up week-end de Blois.

Dimanche et dernier jour du sweblois

« Dimanche, 17h30. La pression est à son comble dans la salle. Désormais, c’est entre le jury et les équipes que tout se passe :

Après ces 54h de travail acharné, les équipes, tour à tour, entament leur ultime pitch devant une assemblée à l’écoute. Quatre courtes minutes pour résumer les labeurs de ce week-end, puis quatre autres réservées aux questions du jury. Passé ce délai, seul un tonnerre d’applaudissements demeure et signe, officiellement, la fin du passage de l’équipe concernée.

Les pitchs s’enchaînent et ont un seul et unique but : convaincre les membres du jury que l’idée est la bonne, la meilleure, celle qui est la plus innovante et celle dont on doit se souvenir, qui mérite de rester et d’être récompensée.

Après presque deux heures d’échanges entre équipes et jury, il est temps, pour les membres de ce dernier, de prendre la parole, après délibération, et d’annoncer, enfin, les lauréats de ce premier start-up week-end blésois. Quelques minutes de pause sont accordées, puis le jury revient à sa place, prêt à mettre un terme à ce suspens, à la fois jubilatoire et insoutenable…

4 lauréats

Lauréat Coup de coeur) : l’équipe Quint n’ Sens, qui propose un système de box constituées de produits du terroir mettant en avant les producteurs, les commerçants et les artisans locaux.

Après cette récompense spéciale, les trois autres lauréats dont en 3e place : la start-up Make Sense qui propose elle aussi des box, mais cette fois constituées d’échantillons sensoriels. Nos cinq sens sont sensés être mis en éveil selon des thématiques spécifiques de produits.

En 2e place : ToSee (anciennement, Flash Game). Son produit, tournant autour de la technologie NFC, est un bracelet qui permet à une personne mal-voyante par exemple, de tagger des produits du quotidien grâce à des stickers « numériques » capables de renseigner « oralement » de la nature et de l’usage de ces produits.

Enfin, l’équipe gagnante de cette première aventure blésoise : Les Suspendus. Appuyant son projet sur le principe de dons/repas suspendus, cette start-up souhaite, au travers d’une application, familiariser et démocratiser davantage cette démarche de générosité entre donneurs, bénéficiaires et commerçants relais.

Une réussite avec plus de 4000 tweets

Pour célébrer tout ça, rien de tel qu’un petit apéro ; c’est l’occasion, pour tous les participant , candidats (ils étaient 75), mentors, sponsor et staff, de se retrouver autour d’un verre (ou deux) pour se dire au revoir, à très vite,  à bientôt, à demain même pour certains…  et surtout, pour donner ses impressions sur ce premier start-up week-end blésois. Alors, bien ou pas ? En tout cas, sur les réseaux sociaux, la communauté a été très active et, au compteur, plus de 4000 tweets avec le hashtag lancé vendredi, #sweblois, ont été envoyés !

Encore une fois, bravo à toutes les équipes, à tous les participants, fertiles en idées et concepts innovants, aux mentors, jamais à court de conseils, et à l’orga’ sans qui tout cela n’aurait pas pu prendre forme. Une bien belle expérience en tout cas, qui aura su faire parler d’elle… »

Le mot de Millef’Oeil

Les félicitations de l’association Millef’Oeil vont à tous les équipiers et particulièrement à l’équipe gagnante qui sur six coéquipiers, compte deux de ses membres, Jean-Christophe Bernard et Jérémy Girodon. Nous aurons l’occasion de lever un toast à leur projet mené de main de maître en moins de 54 heures lors d’un prochain after-work ! Jean-Christophe avait bénéficié d’une place offerte par l’organisation du fait du partenariat avec Millef’Oeil. Il en a fait une place gagnante !

Bravo à Alexis Ménard, président de Loir-et-Cher Tech, qui est à l’initiative de ce sweblois et qui a permis à Millef’Oeil d’être associée à ce challenge dans l’esprit dynamique et innovant qui habite nos deux associations.

Merci aussi aux Millef’Oeil qui se sont engagés dans ce partenariat : Sophie Manuel pour la communication, Cathy Beauvallet et Sandra Le Bricquir en tant que mentors, Willy Delavallée pour les photos, Yann Laffont, Laurent Jegouzo pour les réseaux et notre plus jeune adhérent Hugo Ballabriga pour le relais sur le site…

Et bien sûr, merci à vous tous, les Millef’Oeil pour vos tweets, retweets, like et autres emoji partagés… Nous sommes prêts pour le sweblois 2018 !

sweblois sweblois

SWEBlois acte 2

Dimanche 5 mars, dernier jour du start-up week-end de Blois et dernières heures de rush pour les équipes. Toutes sont encore debout et tiennent le coup. Suivons Hugo Ballabriga sur place qui suit l’événement pour Millef’Oeil, partenaire de l’opération, avec Willy Delavallée pour les photos.

Les communicants de chaque équipe, pour la plupart, ont arpenté les rues de Blois, armés de questionnaires, à la recherche de cibles à interroger. Développeurs et graphistes, quant à eux, pour le plus grand nombre, sont restés sur place pour peaufiner logos, chartes graphique, sites web, applications…
Avant d’affronter la dernière épreuve du week-end, la présentation devant le jury, les différentes équipes ont l’après-midi pour affiner avec l’aide des mentor, la présentation de leur projet.
True last boss: Le jury
Puis viendra l’heure fatidique, celle des pitchs finaux. Cette épreuve, fermée au grand public mais diffusée, en live, sur la page Facebook du start-up week-end, sera déterminante pour les participants. Alors, qui l’emportera ?
Nous vous donnons rendez-vous, aux alentours de 17h, sur la page Facebook du start-up week-end de Blois pour vivre en direct la fin de cette première expérience start-up blésoise.
Après cela, un apéro final est organisé, pour décompresser, débriefer et échanger dans la bonne humeur, autour d’un verre bien mérité.
Ah, mais vous pensiez que c’était terminé ? Rassurez-vous, on a pensé à vous et nous vous avons déniché 7 tips pour passer un bon start-up week-end ; qui sait, peut-être que l’envie de participer au prochain vous prendra ?
 7 trucs à savoir pour un swe réussi
  1. Avoir envie de sortir des sentiers battus. Il est clair que l’innovation ne doit pas être un frein pour vous. Le start-up week-end, c’est l’occasion idéale de découvrir de nouvelles technologies, de nouvelles techniques, de nouveaux horizons(de nouvelles personnes aussi) et ce, quel que soit votre domaine de prédilection. Aller au-delà de ses acquis et sortir de sa zone de confort sont des points essentiels lorsque l’on souhaite participer à un start-up week-end. En outre, dépasser ses limites doit être jubilatoire pour vous. En effet, le start-up week-end est une épreuve intensive, qui tend à pousser les participants dans leur retranchement. Quand la fatigue se fait ressentir, il faut tout de même continuer et cravacher, car le temps est précieux durant un start-up week-end.
  2. Aimer échanger avec autrui et, plus particulièrement, avec des « inconnus ». Entendez, par inconnu, des personnes qui partagent la même envie que la vôtre, celle de découvrir, d’apprendre, de s’enrichir, mais que vous ne connaissez pas (ou peu), avant de vous lancer dans le start-up week-end. Ce point est primordial car c’est par l’échange, bien souvent, que l’on arrive à outrepasser sa pensée ; si vous avez un problème, peut-être que votre voisin a la réponse à celui-ci… Si cela ne vous dérange pas de travailler et de monter un projet avec des gens qui, comme vous, sont là par envie et sont déterminés, mais que vous ne connaissez nullement, alors foncez.
  3. Travailler sous pression ne doit pas être un facteur décourageant. Ou mieux, si, justement, vous n’avez jamais travaillé sous pression, dans le rush constant, dans le travail intensif, alors faire l’expérience d’un start-up week-end y veillera et vous apprendra ce qu’être charrette signifie réellement. Le start-up week-end est éprouvant, les candidats devront donc être prêts, aussi bien psychologiquement que physiquement, à passer 54h de leur vie, quasi-d’affilée, à bosser!
  4. Aimer relever des défis. Le start-up week-end tend à montrer que ce qui, pour beaucoup, relève de l’impossible, c’est à dire, monter une start-up en moins de 54h est, justement, largement faisable #fingersinthenose. Si vous aimez les challenges osés et amusants, alors le start-up week-end est fait pour vous!
  5. Vous êtes porteurs d’idées et/ou de compétences ? On vous prend! Le start-up week-end demande, en amont, aux inscrits de spécifier leur domaine de compétences, parmi une liste prédéterminée relativement large(graphiste, développeur, communicant/marketing/juriste…). Le tout est surtout d’avoir envie de réaliser, d’apprendre, de transmettre, d’échanger et ce, peu importe votre niveau de compétences. La porte est ouverte à quiconque est intéressé.
  6. Je rebondis sur le point précédent: Et si on est trop vieux… ou trop jeune ? En fait, le start-up week-end demande aux candidats d’être majeur mais, hormis celle de la majorité, aucune autre limite d’âge n’est spécifiée. Alors, que vous soyez développeur senior ou étudiant post-bac en graphisme, venez, vous serez accueillis à bras ouverts, comme tout le monde.
  7. De l’amusement en barre, mais pas que! Ce point est induit par ses prédécesseurs dans la mesure où, bien que l’event soit, le plus souvent, animé dans la bonne humeur, le travail reste tout de même le leitmotiv d’un start-up week-end. Apprendre en s’amusant, c’est cool, mais une dose conséquente de travail est, inévitablement, à fournir. Eh oui, une start-up, ça ne se monte pas tout seul! Notons qu’en moyenne, sur une quinzaine de projets par start-up week-end, trois à cinq naissent réellement. Alors oui, on est là pour rigoler, aucun réel objectif n’est à atteindre, mais les enjeux, déterminés individuellement par chaque équipe, peuvent, eux, devenir sérieux et concrets.

Allez, quelques photos et on vous laisse. Merci à Willy pour ces dernières!

 

SWEblois, acte 1

Millef’Oeil est partenaire du 1 er Start-up week-end de Blois, du 3 ou 5 mars, qui réunit 80 participants à l’Insa. 12 équipes, constituées sur place, sont en compétition pour monter un projet de start up qui tienne la route en 54heures ! Challenge redoutable où la fatigue ne doit pas être une ennemie, où la peur de l’inconnu doit être jubilatoire, où l’esprit d’équipe doit être à son apogée…

Plusieurs adhérents Millef’Oeil participent, concurrents, mentor et community managers.

A mi-parcours, voici un petit récapitulatif des premières 24 heures de ce challenge par Hugo Ballabriga et Willy Delavallée pour les photos, adhérents tous les deux.

Vendredi 17h

Ouf, les préparatifs sont terminés, il est 17h et les premiers motivés pointent le bout de leur nez. L’équipe orga’, souriante, les accueille à bras ouvert, leur offrant goodies et explications sommaires quant au déroulement – approximatif, il ne faudrait pas gâcher la surprise !  Le challenge, rappelons le, débute le vendredi soir et se clôt le dimanche soir.

19 heures, les pitchs

Une fois les candidats tous, ou presque, arrivés, direction l’amphithéâtre où Damien, le Facilitateur, comme on l’appelle dans le milieu, briefe et chauffe l’assemblée. Au programme, quelques jeux bien sympathiques, histoire de dédramatiser la terrible épreuve qui les attend, le pitch. Ainsi, icebreak, shifumi géant et formation twitter sont de la partie avant l’épreuve fatidique. Pour rassurer les prétendants, Damien exécute devant eux, en live, son « crash test », un pitch improvisé à l’aide de deux mots, comme trame directrice, donnés par l’assemblée (ici, Pokémon et salade… Bonne chance, Damien!). Les plus téméraires, après cette démonstration exemplaire, ont alors une seule et unique minute pour présenter rapidement leur personne, leur problématique ainsi que leur équipe de rêve. À noter qu’ici, plus de 30 (?) pitchers (sur les 80 participants) ont tenté le coup, chapeau!

L’épreuve des gommettes

Maintenant que chacun a pu pitcher et motiver les troupes à sa sauce, il est temps, pour tous les participants, de répartir leurs précieuses gommettes. Trois, pour être précis, seront à dispatcher sur les projets les plus marquants: Une sur A, une autre sur C et une dernière sur D. Ou bien deux sur B et une sur A etc, vous avez saisi le principe.

Se restaurer en travaillant

Au bout du compte, 12 projets seront retenus sur la multitude initiale. Maintenant, les participants doivent se greffer à un groupe en fonction de leurs aptitudes. Les clans sont hétérogènes, certains comportent quinze personnes, d’autres, seulement quatre… Du moment que l’envie et la motivation sont présentes, c’est l’essentiel!

L’assemblée se met finalement au boulot, après(ou pendant, pour certains) un burger goulûment dévoré, chaque seconde est précieuse!

Et la suite ?

Après une courte nuit de sommeil, les équipes se remettent au travail. Aujourd’hui, en ce samedi de start-up week-end, ces dernières reçoivent la visite des mentors bienveillants, tout de vert vêtus, présents pour accompagner, conseiller et aiguiller les participants sur leurs projets.

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A demain pour la suite !

Merci à Willy Delavallée pour les photos!