SWEBlois acte 2

Dimanche 5 mars, dernier jour du start-up week-end de Blois et dernières heures de rush pour les équipes. Toutes sont encore debout et tiennent le coup. Suivons Hugo Ballabriga sur place qui suit l’événement pour Millef’Oeil, partenaire de l’opération, avec Willy Delavallée pour les photos.

Les communicants de chaque équipe, pour la plupart, ont arpenté les rues de Blois, armés de questionnaires, à la recherche de cibles à interroger. Développeurs et graphistes, quant à eux, pour le plus grand nombre, sont restés sur place pour peaufiner logos, chartes graphique, sites web, applications…
Avant d’affronter la dernière épreuve du week-end, la présentation devant le jury, les différentes équipes ont l’après-midi pour affiner avec l’aide des mentor, la présentation de leur projet.
True last boss: Le jury
Puis viendra l’heure fatidique, celle des pitchs finaux. Cette épreuve, fermée au grand public mais diffusée, en live, sur la page Facebook du start-up week-end, sera déterminante pour les participants. Alors, qui l’emportera ?
Nous vous donnons rendez-vous, aux alentours de 17h, sur la page Facebook du start-up week-end de Blois pour vivre en direct la fin de cette première expérience start-up blésoise.
Après cela, un apéro final est organisé, pour décompresser, débriefer et échanger dans la bonne humeur, autour d’un verre bien mérité.
Ah, mais vous pensiez que c’était terminé ? Rassurez-vous, on a pensé à vous et nous vous avons déniché 7 tips pour passer un bon start-up week-end ; qui sait, peut-être que l’envie de participer au prochain vous prendra ?
 7 trucs à savoir pour un swe réussi
  1. Avoir envie de sortir des sentiers battus. Il est clair que l’innovation ne doit pas être un frein pour vous. Le start-up week-end, c’est l’occasion idéale de découvrir de nouvelles technologies, de nouvelles techniques, de nouveaux horizons(de nouvelles personnes aussi) et ce, quel que soit votre domaine de prédilection. Aller au-delà de ses acquis et sortir de sa zone de confort sont des points essentiels lorsque l’on souhaite participer à un start-up week-end. En outre, dépasser ses limites doit être jubilatoire pour vous. En effet, le start-up week-end est une épreuve intensive, qui tend à pousser les participants dans leur retranchement. Quand la fatigue se fait ressentir, il faut tout de même continuer et cravacher, car le temps est précieux durant un start-up week-end.
  2. Aimer échanger avec autrui et, plus particulièrement, avec des « inconnus ». Entendez, par inconnu, des personnes qui partagent la même envie que la vôtre, celle de découvrir, d’apprendre, de s’enrichir, mais que vous ne connaissez pas (ou peu), avant de vous lancer dans le start-up week-end. Ce point est primordial car c’est par l’échange, bien souvent, que l’on arrive à outrepasser sa pensée ; si vous avez un problème, peut-être que votre voisin a la réponse à celui-ci… Si cela ne vous dérange pas de travailler et de monter un projet avec des gens qui, comme vous, sont là par envie et sont déterminés, mais que vous ne connaissez nullement, alors foncez.
  3. Travailler sous pression ne doit pas être un facteur décourageant. Ou mieux, si, justement, vous n’avez jamais travaillé sous pression, dans le rush constant, dans le travail intensif, alors faire l’expérience d’un start-up week-end y veillera et vous apprendra ce qu’être charrette signifie réellement. Le start-up week-end est éprouvant, les candidats devront donc être prêts, aussi bien psychologiquement que physiquement, à passer 54h de leur vie, quasi-d’affilée, à bosser!
  4. Aimer relever des défis. Le start-up week-end tend à montrer que ce qui, pour beaucoup, relève de l’impossible, c’est à dire, monter une start-up en moins de 54h est, justement, largement faisable #fingersinthenose. Si vous aimez les challenges osés et amusants, alors le start-up week-end est fait pour vous!
  5. Vous êtes porteurs d’idées et/ou de compétences ? On vous prend! Le start-up week-end demande, en amont, aux inscrits de spécifier leur domaine de compétences, parmi une liste prédéterminée relativement large(graphiste, développeur, communicant/marketing/juriste…). Le tout est surtout d’avoir envie de réaliser, d’apprendre, de transmettre, d’échanger et ce, peu importe votre niveau de compétences. La porte est ouverte à quiconque est intéressé.
  6. Je rebondis sur le point précédent: Et si on est trop vieux… ou trop jeune ? En fait, le start-up week-end demande aux candidats d’être majeur mais, hormis celle de la majorité, aucune autre limite d’âge n’est spécifiée. Alors, que vous soyez développeur senior ou étudiant post-bac en graphisme, venez, vous serez accueillis à bras ouverts, comme tout le monde.
  7. De l’amusement en barre, mais pas que! Ce point est induit par ses prédécesseurs dans la mesure où, bien que l’event soit, le plus souvent, animé dans la bonne humeur, le travail reste tout de même le leitmotiv d’un start-up week-end. Apprendre en s’amusant, c’est cool, mais une dose conséquente de travail est, inévitablement, à fournir. Eh oui, une start-up, ça ne se monte pas tout seul! Notons qu’en moyenne, sur une quinzaine de projets par start-up week-end, trois à cinq naissent réellement. Alors oui, on est là pour rigoler, aucun réel objectif n’est à atteindre, mais les enjeux, déterminés individuellement par chaque équipe, peuvent, eux, devenir sérieux et concrets.

Allez, quelques photos et on vous laisse. Merci à Willy pour ces dernières!